Depuis que j'ai découvert Victoria Guillomon, j'ai une boulimie de jaune, celui de la joie, celui des gens qui rayonnent.
... le bonheur de demain n'existe pas (p.205)
Alors, j'écoute Nouvel Oeil (son podcast) quotidiennement, pour garder les yeux bien ouverts, désormais plus attentive à ce qui va bien dans le monde qu'à ce qui l'abîme, le détériore.
Il y a ce que l'on voit et ce que l'on regarde (p.206)
A lire le récit de sa vie, j'ai été tout à la fois émue et profondément admirative pour cette jeune femme dont l'engagement pour la planète se nourrit de son émerveillement pour la vie et qui trouve son bonheur dans la simplicité.
On vit de désirs illusoires. (p.140)
J'apprends le moins pour être plus. (p. 83)
Porter un regard lucide sur le monde n'empêche pas la joie. Bien au contraire, celle-ci naît de l'engagement, de l'alignement avec ses valeurs. Et c'est en posant des actes en cohérence avec ce que l'on ressent, en suivant son intuition, en se construisant loin des modèles établis qu'il est possible de se trouver, de voir un chemin qui nous correspond se dessiner.
C'est vertigineux, de se jeter ainsi la tête la première dans les profondeurs de soi et de ses émotions. On n'est jamais prêt pour ça. (p.55)
Le fil que Victoria déroule dans son livre : vivre avec soi - avec les autres - en société - avec le monde et vivre tout court, a de quoi nourrir toutes les générations. Alors, laissez-la vous prendre la main et vous montrer son chemin.
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